<p>L’?crivain avait rendu un service signal? ? Marie-Th?r?se Geoffrin, fameuse par le salon litt?raire qu’elle tint avec tant de distinction. Pour lui t?moigner sa reconnaissance, elle fit un jour d?m?nager tous les pauvres meubles du philosophe et les rempla?a par d’autres qui, quoique plus beaux et meilleurs, ne m?ritaient pas cependant, parait-il, un ?loge si pompeux. Le lecteur remarquera une admirable appr?ciation du talent du peintre Vernet. Le texte a parfois ?t? consid?r? comme une introduction au Salon de 1769.</p> <p>? plus grande ?chelle, ce petit texte, ?crit sur un ton ironique, est pr?texte ? une r?flexion douce-am?re sur le destin des philosophes face ? la prosp?rit? et les compromis auxquels l’intellectuel vieillissant peut, l’?ge aidant, se laisser aller : ≪ Mes amis, gardez vos vieux amis. Mes amis, craignez l’atteinte de la richesse. Que mon exemple vous instruise. La pauvret? a ses franchises ; l’opulence a sa g?ne ≫</p>画面が切り替わりますので、しばらくお待ち下さい。

※ご購入は、楽天kobo商品ページからお願いします。

※切り替わらない場合は、こちら をクリックして下さい。

※このページからは注文できません。

レビュー件数0
レビュー平均0
ショップ 楽天Kobo電子書籍ストア
税込価格 80円